8 mars 2010
1
08
/03
/mars
/2010
07:20

Arrivée de la goelette, les dernières ont fonctionné il y a 20 ans. A cette époque, plusieurs vallées n'étaient pas accessibles par la terre. Les pistes étaient rares et les voitures se comptaient
sur les doigts de la main.

Ces cases en bambou et cocotier étaient utilisées dans les années 1960; un de mes amis a été élevé dans une habitation semblable.

Départ en pirogue à balancier

Famille vers 1900

Avant l'arrivée de l'évangile, la nature n'avait pas de problème.

Mise à mort

Guerrier Marquisien avec son casse-tête
Published by OCEANIEN
-
dans
Gravures Anciennes Marquises
12 janvier 2010
2
12
/01
/janvier
/2010
20:11

La place devant les "hae" (habitations). Comme elle est très fréquentée, ne figurent que
des tikis de second rang correspondant à des dieux peu importants. Les tikis de premier rang sont disposés dans des endroits cachés.

Le tatoueur au travail. Il utilise une substance végétale, de la cendre et de l'huile de
coco. La séance est longue et douloureuse, pratiquée avec une dent de requin frappée par un petit marteau de bois. Le tatouage est réservé à la classe dominante et aux guerriers.

Une habitation traditionnelle il y a 150 ans.

Sépulture de chef; on retrouve les armes et les parures du défunt: le casse-tête, l'éventail dont le manche comporte des os humains, le sceptre avec des cheveux humains, la parure de cou avec des
dents de requin, de la nacre, des os d'animaux, des arêtes de poissons, du bambou.
La mort était une étape peu redoutée par les Marquisiens. Souvent même, ils s'installaient dans leur cercueil bien avant de mourir. Le corps du défunt était massé pendant plusieurs jours pour
atteindre une sorte de momification. Il était placé dans un "vaka tupapa'u" (pirogue du mort) couvert d'un toit où il séjournait assez longtemps. On apportait régulièrement de la nourriture au
défunt. Lorsque l'édifice tombait en ruines, les restes osseux étaient conduits dans une grotte.
Published by OCEANIEN
-
dans
Gravures Anciennes Marquises